Qui n’a jamais débarbouillé la bouche d’un enfant après le repas sans le prévenir ? Un geste banal qui peut involontairement avoir un impact, ne serait-ce que léger, sur le développement optimal de l’enfant. C’est ce qu’on appelle une douce violence. Quelles sont les formes que peuvent prendre les douces violences dans le quotidien de pro de la petite enfance ? Comment les limiter pour les remplacer par des attitudes qui répondent à la grande dépendance de l’enfant, en crèche comme chez les assistantes maternelles ?
Aujourd’hui en plein essor, la Langue des signes tord le cou aux préjugés avançant qu’elle retarderait l’acquisition du langage et démontre ses bienfaits au quotidien. Pourtant, certaines pratiques laissent encore à désirer et laissent les pros de la petite enfance frustrées ou découragées. À quelles conditions parvient-on à diffuser efficacement la communication gestuelle au sein d’un lieu d’accueil ? Florence Davrout, formatrice professionnelle et fondatrice de l’organisme de formation l’Atelier des signes, revient pour nous sur ces questions.
Qu’on l’appelle Langue des signes, geste associé à la parole ou communication gestuelle, le fait d’enrichir de signes les échanges oraux entretenus avec les tout-petits a fait ses preuves. Aujourd’hui en plein essor, elle démontre ses bienfaits au quotidien. Quels sont-ils ? Florence Davrout, formatrice professionnelle et fondatrice de l’Atelier des signes, y revient pour nous.
Parents ou pros de la petite enfance, tous cherchent à accompagner les émotions des tout-petits et à vivre avec en toute sérénité. Entre approches théoriques et pratique quotidienne, il y a parfois un monde… que nous avons entrepris d’explorer avec Aurélie Crétin, psychologue en thérapies comportementales et cognitives, spécialiste des enfants.
